Critique de GUENON par Jacques G.
René Guénon (voir Le règne de la quantité et les signes des temps)─, dont je ne récuse en rien les qualités mais dont j’ai seulement souligné les défauts, comme je le fais pour le Zoïle abrupt, qui s’imagine par ailleurs être un grand connaisseur de l’ésotérisme islamique (on ne rit pas ! merci) écrivit par ailleurs ceci dans un article paru sous ce titre – Noms profanes et noms initiatiques ; du nom initiatique et de sa raison d’être… - p. 237, Ch. XXXVII : Le même enseignement se rencontre dans l’ésotérisme islamique, [qui] dit que « le vrai sage ne se lie à aucune croyance », parce qu’il est au-delà de toutes les croyances particulières, ayant obtenu la connaissance de ce qui est leur principe commun ; mais c’est précisément pour cela qu’il peut, suivant les circonstances, parler le langage propre à chaque croyance. » D’où ce conseil ; qu’attend-t-il pour abandonner sa croyance dans l’infaillibilité de son maître, mentor et guide, et ne suivre que l’idée du Vrai, du Bon et du Juste ? Il se remodèlerait utilement alors !
Heureusement, un auteur a pu dire plus et mieux en beaucoup moins de mots, de phrases, de livres, et dans un style de beaucoup plus limpide, élégant et accessible, valant largement mieux que le présent article pour détourner les Lecteurs des mirages guénoniens, perfides par leur attractivité : je parle de Fulcanelli, dont il convient de lire et relire les avertissements salvateurs à la fin de ses deux maîtres-livres, qui valent mieux et plus que tout ceux de René Guénon : je parle évidemment du le Mystère des cathédrales et des Demeures philosophales…
En outre, et pour compléter culturellement ce mien article, et préciser ce que l’on devrait entendre par qualité des écrits de René Guénon, consécutifs à leur édition : « Oui, les éditions de R[ené]. G[uénon]. continuent à être lamentables ; et si vous saviez tout ce qui se passe autour et à cause de son héritage des droits d'auteur ! La collection "Tradition" est bien morte il y a 10 ans [en 1963, donc], à cause justement des intrigues intervenues déjà alors. » (lettre dactylographiée de Michel Vâlsan datée du 28 août 1973). « C'était édifiant ! A la place parut un étrange mélange, Formes traditionnelles et cycles cosmiques, fait d'articles remarquables mais assemblés sans queue ni tête avec une introduction lamentable ! Michel Vâlsan nous avait dit, à propos du préfacier : « Il n'a jamais su écrire le français ! » Voilà où nous en sommes en 2015 … On ne félicitera pas les ayants-droits ou plutôt : ceux qui agissent fielleusement en leur nom. » C’était le 17 novembre 2015…